dimanche 15 mai 2016

En route vers les anneaux de Neptune et ses « Terres d’ailleurs »…

Parti pour un voyage intemporel, André Brahic nous a quittés en ce dimanche de la Pentecôte. Trop tôt, toujours trop tôt, pour nous vivants. Je l’avais connu lors d’une – brillante – présentation, il y a quelques années, dans le cadre de Conférences expérimentales organisées par Dominique Bonin de l’ESPCI à Paris.
Plus récemment, il y a un an à peine, je lisais, avec la passion que l’on me connaît, son magnifique livre, co-écrit avec Bradford Smith, Terres d’ailleurs  À la recherche de la vie dans l’Univers. Nous avions, à cette occasion, échangé par mail. Comment ne pas retranscrire ici l’une de ses phrases, tellement optimiste, lui qui rayonnait d’enthousiasme : « Nous avons simplement la chance de vivre à une époque merveilleuse et de connaître des progrès de la science rapides et impressionnants. »
Je reste convaincu que dans ce voyage intemporel qu’il vient d’entreprendre il trouvera la vie…


 (André Brahic avait déjà été évoqué dans l’un de mes précédents billets, intitulé Au fil de mes lectures…, daté de juin 2015.)