vendredi 6 février 2015

Un mois déjà !

Et même un peu plus ! 

Un blog doit être alimenté et je conviens que le mien ne l'a pas été pendant une longue période.
Hormis les événements tragiques de début janvier, peu propices à s'exprimer, tant d'autres l'ayant abondamment fait, et au sujet desquels je ne saurai convenablement m'exprimer, deux faits majeurs, du moins pour moi, ont ralenti le rythme de production de mes billets, à savoir deux livres.

Le récit de voyage que j'avais écrit suite ma découverte du Turkménistan en avril 2014 a enfin vu le jour et le moins que l'on puisse dire est que sa couverture en a surpris plus d'un ! Mieux, les libraires parisiens qui acceptent de prendre mes livres en dépôt sont restés souvent sans voix face à la surprenante photo pleine page d' Etrange et déconcertant Turkménistan. Davantage lorsque je leur en donnais l'explication.
Le second livre est celui que je suis en train d'écrire et qui relate cet autre voyage, non moins extraordinaire, partagé avec quelques amis à qui j'avais proposé de découvrir, du nord au sud, le Chili, avec une extension pour ceux qui le désiraient vers Rapa Nui, plus connu sous le nom de l'Île de Pâques. Trois semaines incluant le désert aride d'Atacama, la région des lacs et l'île de Chiloé, la plus que troublante Patagonie, à laquelle je ne cesse, aujourd'hui encore, de rêver. Enfin, Santiago et surtout Valparaiso, avec un souvenir ému pour la Isla Negra, la dernière demeure de Pablo Neruda.

Voilà pourquoi le temps me manque ! Cette rédaction m'exalte, comme toujours, et les phrases ne cessent de se construire dans mon esprit, de jour comme de nuit, avant qu'elles ne viennent se matérialiser sur le petit écran de mon ordinateur. Je viens à peine de terminer le long chapitre sur San Pedro de Atacama, c'est dire. Il me reste encore beaucoup de chemin avant d'atteindre les rivages de l'île aux moais... 
Mais j'espère que d'ici là, j'aurais eu le plaisir de revenir ici même pour un nouveau billet dont le thème m'est pour l'heure totalement inconnu.
Mais, comme l'écrivait jadis André Maurois (qui en fit également le titre d'un recueil de nouvelles), Toujours l'inattendu arrive


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