Parti pour un
voyage intemporel, André Brahic nous a quittés en ce dimanche de la Pentecôte.
Trop tôt, toujours trop tôt, pour nous vivants. Je l’avais connu lors d’une –
brillante – présentation, il y a quelques années, dans le cadre de Conférences
expérimentales organisées par Dominique Bonin de l’ESPCI à Paris.
Plus récemment, il
y a un an à peine, je lisais, avec la passion que l’on me connaît, son
magnifique livre, co-écrit avec Bradford Smith, Terres d’ailleurs À la recherche
de la vie dans l’Univers. Nous avions, à cette occasion, échangé par mail.
Comment ne pas retranscrire ici l’une de ses phrases, tellement optimiste, lui
qui rayonnait d’enthousiasme : « Nous
avons simplement la chance de vivre à une époque merveilleuse et de connaître
des progrès de la science rapides et impressionnants. »
Je reste convaincu
que dans ce voyage intemporel qu’il vient d’entreprendre il trouvera la vie…
(André Brahic avait déjà été évoqué dans l’un
de mes précédents billets, intitulé Au
fil de mes lectures…, daté de juin 2015.)
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